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Je vous suggère la lecture de ce texte : Prendre les choses en main en attendant une nouvelle économie La fondation du syndicat du Frites Alors ! sur la rue Rachel à Montréal suscite à l’occasion de vives réactions. Je trouve la suivante troublante : “elles et ils ont juste à se trouver un autre emploi si elles et ils ne sont pas contents”. Je réponds habituellement qu’il faut repenser notre économie. Dans une société plutôt riche comme la nôtre, on ne peut se permettre d’être complaisant à l’égard du fait que 733 700 salarié·e·s occupent des emplois à bas salaire qui ne leur permettent pas de subvenir à leurs besoins, ce qu’on appelle des salaires non viables. Si l’État ne s’occupe pas de la question, il est tout à fait légitime que les travailleurs et travailleuses prennent les choses en main. Suivre ce lien pour lire l'article au complet.
La fondation du syndicat du Frites Alors ! sur la rue Rachel à Montréal suscite à l’occasion de vives réactions. Je trouve la suivante troublante : “elles et ils ont juste à se trouver un autre emploi si elles et ils ne sont pas contents”. Je réponds habituellement qu’il faut repenser notre économie.
Dans une société plutôt riche comme la nôtre, on ne peut se permettre d’être complaisant à l’égard du fait que 733 700 salarié·e·s occupent des emplois à bas salaire qui ne leur permettent pas de subvenir à leurs besoins, ce qu’on appelle des salaires non viables. Si l’État ne s’occupe pas de la question, il est tout à fait légitime que les travailleurs et travailleuses prennent les choses en main.
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